| |
Villerest
et son habitat .
D’après recensement INSEE mars 1999
■ En 1999 :
Le parc:
■ ensemble des logements par type.
|
1968
|
1975
|
1982
|
1990
|
1999
|
|
Ensemble des logements
|
594
|
780
|
970
|
1371
|
1541
|
100%
|
Résidences principales
|
491
|
670
|
878
|
1262
|
1454
|
94,4%
|
Nb. d’occupants des résidences principales
|
3,4
|
3,2
|
3,2
|
3,2
|
2,9
|
|
Résidences secondaires
|
83
|
47
|
36
|
44
|
47
|
2,9%
|
Logements vacants
|
20
|
63
|
56
|
65
|
37
|
2,5%
|
Caractéristiques :
■ sur les 1454 résidences
principales :
- maisons
individuelles
:
94,4 % (moyenne nationale : 82,39%)
- logements en
immeubles collectifs :
5,2% (moyenne nationale : 6,3%)
- répartition du nombre
de pièces :
- 1 pièce : 0,3% - 2 pièces : 3,2% - 3 pièces : 8,4% - 4 et plus :
88,1%
- confort :
- ni baignoire
ni douche : 0,8% - sans chauffage central :
18,4% - avec chauffage central : 81,6%
- garage box parking : 86,2%
- évacuation
des eaux usées
Tout à l’égout
: 81,3% Fosse septique : 17,2%
Autre : 1,5%
- date d’aménagement :
Part des logements occupés depuis
moins de 2 ans
2 à 9 ans
plus de 9 ans
ensemble
01/98 à 03/99
03/90 à 01/98
avant 03/90
Nb. de ménages : 1454
6,9%
28,3%
64,8%
Nb. de personnes : 4165
7,2%
32,8%
60%
Selon nb. de pièces :
. 1 pièce
4
50%
25%
25%
. 2 pièces
47
21,3%
31,9%
46,8%
. 3 pièces
122
6,6%
26,2%
67,2%
. 4 pièces et plus : 1281
6,2%
28, 4%
65,3%
Selon l’âge de la personne de référence du ménage
Part des ménages occupant leur logement depuis
moins de 2 ans
2 à 9 ans
plus de 9 ans
.
ensemble : 1454
6,9%
28,3%
64,8%
. 15 à 29 ans :
38,2%
55,9%
5,9%
. 30 à 39 ans :
15,2%
73,2%
11,6%
. 40 à 49 ans
6,5%
31,4%
62,1%
. 50 à 59 ans
4,,7%
15,6%
79,7%
. 60 à 74 ans
2,4%
12 ,1%
85,5%
. 75 ans et plus
1,6%
5,5%
92,9%
-
époque d’achèvement :
. ensemble : 1454 - avant 1949 :
16,3% - 1949 à 1974: 21,5% -1975 à 1989: 48,4%
-1990 ou après:13, 8%
40%
des habitations ont été construites depuis moins de 20 ans et 60% depuis 30 ans
Parc
ancien moins du 1/5 du total. La moitié des logements collectifs ont été construits avant
1948
et l’autre moitié est récente. Au total une urbanisation très jeune.
- occupation : nombre de personnes
nb. résidences princi. Population resid. Princi.pales
Propriétaires
1207 83% 3481 83,6%
Locat.logt vide
156 10,7%
395 9,5%
Loc.HLM
63 4,3%
232 5,6%
Loc.meublé
1 0,1%
4 0,1%
Logé gratuite.
27 1,9%
53 1,3%
Total 1454 100%
4165 100%
-
selon catégorie socioprofessionnelle :
|
Agriculteurs |
Artisans
commerc |
Cadres
prof. intel |
Professions interméd. |
Employés |
Ouvriers |
Retraités |
Autres Inactifs |
Total |
Maison indiv, ferme |
9 |
128 |
183 |
260 |
95 |
287 |
275 |
58 |
1395 |
|
0,6% |
9,2% |
13,1% |
18,6% |
6,8% |
20,6% |
26,9% |
4,2% |
100% |
Logement (immeuble collectif) |
0 |
0 |
4 |
16 |
17 |
22 |
25 |
0 |
84 |
|
|
|
4,8% |
19% |
20,2% |
26,2% |
29,8% |
|
100% |
Logem foyer
|
0 |
0 |
0 |
0 |
0 |
0 |
0 |
0 |
0 |
Autres |
0 |
0 |
4 |
0 |
0 |
0 |
0 |
0 |
4 |
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
Total |
9 |
128 |
191 |
276 |
112 |
309 |
400 |
58 |
1483 |
|
0,6% |
8,6% |
12,9% |
18,6% |
7,6% |
20,8% |
27% |
3,9% |
100% |
■ sur les
18 logements collectifs dont aucun
n’appartient à un organisme HLM
- 11 ont 2 logements - 3 ont 3-4 logements - 4 ont 5 logements
■ Propriétaires de leur résidence principale
83,01% (moyenne nationale : 73,56%)
■ Grands logements au moins 5 pièces :
53%
■ Petits logements de 1 à 2 pièces :
3,5%
■ Prix au m²(vente) : 1301,25 euros / m²
■ Secteur locatif : peu de villa à
louer, existence d’une demande (ou d’une offre ?) dans le secteur locatif individuel groupé ( « maisons de ville »)
■ Quelle évolution de l’habitat depuis le
recensement de 1999
.
1990 1991 1992
1993 2004 2005
Nb.logts autorisés 48 34 6 23
18 113
Surfaces logts autorisés en m2 4444 3170 900 2901
2972 9636
Nb.logts commencés
24
31 19 19 20 29
Surfaces logts commencés en m2 3416 4342 2360 2544
3320 4622
En 2005, 113 logements ont
été autorisés, dont 70 autorisations de logements collectifs et 41 individuels, 2 en
individuel groupé.
Les logements locatifs sociaux ne représentent
que 6% de l’ensemble des logements soit un déficit
de 235 logements par rapport aux exigences de la loi SRU.
Les effets de la révision du POS et du PLU....
Lecteurs: ensemble.villerest@free.fr
Adherents Ensemble à Villerest : http://ensembleavillerest.blogspot.com/
TOTEM
OFNI
N’en jetez
plus, la Loire est pleine !
Saumon, alose, lamproies …
Au début du XXème siècle, on dénombrait
encore, dans la Loire, 14 familles, 31 genres, 45 espèces de poissons.
A l’aube du XXIème siècle, dans le lac de Villerest, on peut
aujourd’hui, faire de bonnes pêches… mais d’une autre nature.
|
|
Déchets à vau-l’eau
« Dis-moi ton totem, je saurais qui tu es. »
"Bien Grenellement votre!"
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Un article d'Henri Plasson...
L’intérêt des O.V.N.I.S. (objets volants non identifiés), outre la
sensation d’ennui qu’ils procurent aux pauvres téléspectateurs qui, au hasard de leur zapping
estival, ont eu à subir quelques séquences de la série « Mystère », le feuilleton de
TF1, c’est leur invisibilité. Pour la majeure partie des terriens en tout cas !
Il n’en va pas de même pour les O.F.N.I.S. (objets flottants non identifiés)
du barrage de Villerest. Ils sont là, bien là, maculant les berges de la retenue, montant et
descendant au gré des crues du fleuve, horrifiant le pauvre promeneur qui s’aventure sur le joli
chemin de Grézelon.
« Objets
flottants non identifiés » ? Pas tant que çà !
Si les bois flottés en constituent la majorité (près de 80% du volume), les
autres objets sont aussi divers que ceux que l’on trouve dans les poubelles de notre société de
consommation et notamment des déchets plastiques de toute forme, de toute couleur et de toute
nature. Les emballages, bouteilles et bidons voisinent avec de vieux jouets et des déchets
innommables d’origine pharmaceutique…
D’où
viennent-ils ?
Sûrement pas comme « l’Aigle
Noir » de Barbara, « surgis de nulle part ».
Ces déchets se sont échappés des décharges sauvages qui parsèment les
abords du fleuve en amont de Balbigny, voire des égouts de quelque grande ville. N’a-t-on pas
retrouvé à Villerest une poubelle (vide !) portant fièrement les armes de la ville de
Saint-Etienne ?
Que
deviennent-ils ?
Contrairement à ce que pourrait penser un touriste venant par hasard se
promener sur les bords du lac et croyant à la pérennité de ces déchets, ils sont bel et bien
progressivement enlevés mais « le dernier fleuve sauvage d’Europe » prend un malin
plaisir à en ramener de nouveaux au gré de ses crues et le nettoyage est sans cesse à
recommencer.
Quels
sont les modernes Sisyphes qui prennent en charge ce nettoyage ?
- Le SMRBV (Syndicat mixte des communes riveraines de la retenue du barrage de Villerest) s’est
doté d’une « brigade verte » affectée à cette tâche à raison d’environ une
centaine d’heures de travaux par semaine Elle récupère les déchets à l’aide d’une barge de
nettoyage à fond plat équipée d’un bras articulé et d’un panier à l’avant.
Les quantités récupérées
chaque année sont variables, 120 à 170 tonnes (ce qui représente plus de 1000 m3). Les
déchets stockés dans une benne sont récupérés par une entreprise de Vougy qui procède à leur
traitement et recyclage. Cette opération coûte 42 euros hors taxe par tonne de déchet !
-
E.P.L. (Etablissement public pour l’aménagement de la Loire et des ses affluents) qui gère
la retenue de Villerest intervient ponctuellement pour éliminer les déchets en cas de crue
spectaculaire. Ce fut notamment le cas en 2004. La crue de décembre 2003 ayant apporté une quantité
impressionnante de déchets aux abords du barrage (occupant une surface de 15000m²), E.P.L. a lancé,
pour éliminer ces déchets, un appel d’offre auprès des entreprises spécialisées. Le nettoyage
effectué en mai 2004 a permis de récupérer 500tonnes de déchets (1200m3). Il a coûté
94830 euros hors taxes !
- E.D.F. qui gère la centrale électrique fait également récupérer par une entreprise spécialisée
mobilisant des plongeurs et une grue les corps flottants qui obstruent la prise d’eau de la
centrale. Coût ?
Des solutions ?
Comme on le voit ces OFNIS coûtent
très cher à la collectivité sans pour autant satisfaire les riverains qui ont l’impression
d’une invasion permanente.
N’existe-t-il pas des solutions
alternatives plus efficaces et moins coûteuses ?
Certaines relèvent de la
prévention : ne pourrait-on pas analyser avec précision la
provenance des objets flottants afin de demander aux
riverains d’amont une plus grande vigilance dans la gestion de leurs déchets et de leurs égouts ?
Ne pourrait-on dresser un
inventaire des décharges sauvages ou non qui se trouvent en bord de Loire et repérer les
zones de « laisse-crues » où s’accumulent les déchets que le fleuve entraîne plus
aval lors de ses hautes eaux ?
Enfin
d’autres méthodes de lutte semblent envisageables : sur certains cours d’eau les pouvoirs
publics ont essayé avec succès la technique des barrages flottants permettant de récupérer en
amont une très grande quantité de déchets.
Pour faire prendre conscience de
ce problème l’association Ensemble à Villerest a saisi l’occasion de l’exposition « To-thème » qui s’est tenue à Villerest les
23 et 24 juin en édifiant un totem dédié aux « objets flottants non identifiés ». (lire l'article Totem
OFNIS)
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Décharge municipale sauvage... ...
A Villerest, sur le chemin de Grézelon.
N’en jetez
plus !
La loi du 13.7.1992 fait obligation de
recycler et valoriser les déchets du bâtiment et des travaux publics.
La circulaire ministérielle du
18.6.2001 s’applique aux déblais divers de ce remblai.
|
Les « fraisats » de
produits hydrocarbonés
(agrégats d’enrobés), doivent être recyclés, quasiment en l’état pour la fabrication
d’enrobés. |
|
Les produits de démolition (bétons de ciment)
doivent
- passer par
une installation de recyclage (tri, concassage, criblage),
- faire
l’objet d’une identification,d’une étude de
formulation
avant leur réemploi pour la réalisation
d’assises traités, béton routier, remblais…
|
Les déchets de balayage de chaussée
doivent être débarrassés des encombrants et
particules par lavage et criblage à sec, avant réutilisation de leur gravier. Les résidus,
dont le stockage temporaire à ciel ouvert est interdit, doivent être évacués hermétiquement,
vers un centre d’enfouissement de classe 2. Une attestation de prise en charge et un
bordereau de suivi sera remis au maître d’œuvre, après chaque évacuation. |
 |
… la Loire est déjà
pleine !
|
22 .7. 2007
|
N’en rajoutons pas à l’échelon municipal !
Villerest se doit de respecter les lois et règlements de protection de notre environnement. |
Enterrer le problème n’est pas la
solution pour le résoudre
"Bien Grenellement votre!"
|
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Verte plage...
Villerest, 2 juillet 07 (lendemain de la fête de l’eau)
Malgré le temps plus que maussade elles sont arrivées à
Villerest…les algues.
L’eutrophisation (*) du Lac : une triste réalité à ajouter aux déchets
flottants
|
Adieu
la baignade !
Bonjour les odeurs !
|
Faute d’une
politique de lutte contre cette pollution par les phosphates et nitrates d’origine agricole
et domestique, les projets d’aménagements touristiques et sportifs sont dans le lac et
tombent dans cette eau !
(*)L’eutrophisation
est "l’asphyxie des eaux d’un lac ou d’une rivière" due à un apport exagéré
de substances nutritives - notamment le phosphore
- qui augmentent la production d’algues et de plantes aquatiques, avec parfois comme à
Villerest et Grangent des développements de cyanobactéries ou "algues bleues"...
"Bien Grenellement votre!" Pour en savoir plus "Le Conseil départemental des associations
familiales laïques de la Loire (Cdafal) a édité 10 000 exemplaires d'une plaquette intitulée
"Stop aux phosphates", pour la rentrée 2007. Des militants du collectif Loire amont
vivante ont lancé l'opération sur le pont du barrage de Grangent, le vendredi 21 septembre
2007. http://www.zoom42.fr/actu/ACT_detail.asp?strId=12805&strArtTypId=5
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A la « une » de l’actualité locale et nationale.
Ce lundi 12 février, Villerest a ouvert le journal de 13h sur TF1.
Tous ensemble, tous ensemble ! Non aux fermetures de classes !

Parents,
enseignants élus, solidaires !

Leur avenir est entre les mains de l’école !
|
 |
SUPPRESSION DE DEUX CLASSES
MATERNELLES A VILLEREST.

Les faits :
En décembre 2006, l’inspection
académique Roanne-Ouest:
-
demande aux directrices des écoles maternelles du Clos et de la Mirandole leurs
prévisions d’effectifs, les invite à distinguer
dans celles-ci, les enfants de plus de 3 ans et les prie de spécifier pour les moins de 3
ans, le nombre de ceux qui auront trois ans révolus à la rentrée et celui de ceux qui les
auront au cours de l’année scolaire.
-
précise qu’à partir de la rentrée 2007, plus aucun élève de moins de 3
ans ne sera comptabilisé dans les effectifs des écoles publiques.
-
exige, pour les enfants scolarisés à Villerest, mais habitant dans une autre
commune, une autorisation des maires de la commune d’accueil et du domicile. Jusqu’alors, après avoir donné son assentiment, le maire dont l’école recevait un
enfant de l’extérieur informait le maire de la commune de résidence et un accord était
passé pour le reversement des subventions. Les dérogations sont accordées tant que l'enfant
reste dans l'école: un enfant inscrit à la maternelle à 2 ans jouit de la dérogation
jusqu'à sa sortie de ladite école à 6 ans; s'il part dans une école primaire hors de sa
commune de résidence il doit redemander une dérogation.
Dans ces
conditions :
-
Les écoles maternelles de la Mirandole et du
Clos se retrouvaient avec des effectifs au-dessous du seuil de fermeture. Il manquait
14 élèves à la première et 10 à la seconde pour éviter une fermeture dans chacune, menacée
de passer respectivement à 3 classes au lieu de 4 à la Mirandole et de 2 au lieu de 3 au
Bourg.
-
Face à cette situation enseignants, parents et municipalité organisaient une
campagne d’information qui permettra de recueillir les « intentions »
d’inscription nouvelles qui font apparaître des prévisions d’effectif de 62 élèves au
Clos et 91 à la Mirandole (au-dessus des seuils de fermeture, fixés à 90 élèves pour 4
classes et 60 pour 3 classes.)
-
L’inspection académique refuse de prendre en compte ces « intentions »
d’inscriptions. Pour elle, seules les inscriptions « effectives » (qui ne seront
ouvertes qu’à partir du mois de juin et se poursuivront jusqu’à la rentrée) lui
paraissent dignes de foi. Or l’inspectrice des maternelles a fait savoir qu’elle arrêterait
sa décision de fermeture en juin.
-
Les parents de 7 élèves non villerestois, non encore scolarisés ont manifesté
le souhait d’inscrire dans les écoles maternelles de Villerest (5 dans celle de la
Mirandole, 2 celle du bourg) à la prochaine rentrée. Ils ont 3 ans et sont en nourrice à
Villerest. Jusqu'à présent ce type de dérogation a toujours été accordé. Dans le
contexte actuel, un maire, dont les écoles sont menacées de fermeture, donnera-t-il son
accord à la scolarisation d’un enfant dans une autre commune?
-
Pour la rentrée prochaine, dans le Roannais, pour les classes maternelles. sont
prévues 12 fermetures et aucune ouverture.
-
Les adjoints de la municipalité de
Villerest, ceints de leurs écharpes tricolores sont venus apporter, dans la cour de l’école
du bourg et en présence de la presse, leur soutien officiel aux enseignants et parents.
-
Le 6 février, le Comité Départemental de l’Education Nationale, réuni à
Saint Etienne, confirmait les fermetures de deux classes maternelles à Villerest.
Les conséquences :
En cas de fermetures :
-
plus de 30 élèves par classe ;
-
accueil impossible des enfants lors des absences des enseignants.
-
plus de temps disponible pour les élèves en difficulté.
-
gym, sorties scolaires impossibles.
-
suppression de deux postes d’ATSCEM (agents des services municipaux qui aident
les maîtresses dans l’accompagnement quotidien des enfants).
-
ouverture menacée de la classe supplémentaire prévue à l’école élémentaire
de la Mirandole (les parents qui ne trouveront pas de place en maternelle inscriront leurs
enfants plus âgés dans l’école qui accueillera leurs frères et sœurs en âge maternel.)
-
la municipalité, faute de places en crèche et halte garderie, est dans
l’impossibilité d’assurer l’accueil des enfants de 2 à 3 ans, refusés à l’école
maternelle. Pour répondre à cette demande, les assistantes maternelles ne sont pas en nombre
suffisant.
-
des charges supplémentaires incomberont aux familles (la scolarisation des
enfants de 2 ans, elle, est gratuite.)
-
il y a risque et menace de ne pouvoir accueillir, dans les écoles maternelles,
faute de places et de moyens, les enfants de 3
ans, voire à terme de 4 ans. L’âge de la scolarisation obligatoire ne demeure-t-il pas fixé
à 6 ans !
Réflexions :
-
Cette décision (ne plus prendre en compte les enfants de moins de 3 ans) est
l’application, dans notre département, d’une mesure déjà en vigueur dans d’autres départements.
Le ministère souhaite la généraliser ainsi que le jumelage des écoles élémentaires et
maternelles.
-
Elle constitue une remise en cause de la fonction et de la politique éducative
dévolues à l’école maternelle, dans le système scolaire français. C’est, à terme,
une façon de renvoyer les jeunes mères de famille à la maison, avec le secret espoir de faire ainsi, artificiellement, diminuer le chômage.
-
Cela correspond à la volonté de certains ultra-libéraux de privatiser
l’enseignement public. Emmanuelle
Mignon, directrice des Études à l’UMP, conseillère de
Nicolas Sarkozy, déclarait dans Le Monde du 7 septembre 2004 : « J’ai toujours été conservatrice, j’aime l’ordre.
Je crois à l’effort personnel et, et matière économique, à
la main invisible du marché. Par exemple je suis pour une
privatisation totale de l’Éducation nationale. »
-
Par ailleurs :
. La France ne consacre aujourd’hui que 5,8 % de son PIB aux dépenses publiques d’éducation, contre 7,6 % en Suède ou en
Norvège (dernier rapport de l’OCDE sur l’éducation).
. Depuis 2002, la France investit moins dans son école
:
- Suppression de 15 000 postes en deux ans,
- 5 000 suppressions de postes dans le plan de loi de finances 2007
- Les 1000 postes d’enseignants supplémentaires prévus dans
les collèges récemment labellisés « ambition réussite » ne seront pourvus que par redéploiement.
Les réactions et actions :
-
Les parents d’élèves occupent les écoles, bloquent les liens téléphoniques
avec l’inspection académique.
-
Manifestation prévue pour le samedi 3 mars.
-
Ouverture d’une pétition pour tous les Villerestois.
-
Venue de TF1, à l’école du bourg, ce lundi 10 février à 8h.30.
-
Campagne d’affichage.
-
Action possible lors de l’éventuelle venue, le mercredi 14 février, du Préfet
à Riorges.
Retour à la page d'accueil
La Soirée Débat sur la scolarisation
des 2-3 ans
Ensemble à Villerest a organisé une soirée débat
le mercredi 18 avril 2007 à 20 h 30
Au petit Théâtre de Villerest sur le
thème de la scolarisation des 2-3 ans
Avec la participation de
:
- Fabienne Champomier, Psychologue Clinicienne,
- Marcelle Thomas, institutrice de maternelle à la retraite, Co-auteur d’un rapport et
d’un film « j’ai deux ans, dessine moi une école »
- Des représentants des parents d’élève des écoles maternelles de Villerest du Clos et
de la Mirandole.
Et la présence de représentants de la PMI de la Loire
Un débat ouvert:
voir article de presse ci-dessous

Quelques photos de la soiréee.. |
Haut de page |
|
|
Circulez ! Il y a beaucoup à revoir !
Obélix a perdu ses cailloux !
D’un
côté, on installe sur la chaussée des obstacles qui ne sont pas signalés et que l’on
protège par un autre obstacle encore plus agressif.
|
De l’autre côté : d’une pierre d’achoppement à un mur
planté sur la voie publique, on fait assaut d’obstacles. |
|
|
Le petit Poucet est passé par-là !
|
Des « bosses » d’amarrage pour éviter des plaies à la
bordure d’un perron, faux trottoir.

Le
petit Poucet n’avait plus assez de cailloux : la marche en a fait les frais ! Avec
ses 31cm de hauteur (le double de celle d’une marche de trottoir), cette murette est
un casse-pattes.
|
« Plantés » au beau
milieu !
Par où passer ?
|
|
Cette « innovation plantureuse » fait fi de l’obligation
d’absence d’obstacle sur la voie de circulation ! Elle ignore les normes réglementaires
et l’exigence d’une matérialisation au sol délimitant
la chaussée. |
Gardez-vous à
droite !
Gardez-vous
à gauche !
|
|
Des
obstacles sont installés, sur la voie publique, sans signalisation ni délimitation de la
voie de circulation. Le souci de réduire la vitesse n’autorise pas à remplacer un danger
par un autre et à redoubler la dangerosité de celui-ci dans l’espoir d’un effet
dissuasif sur les excès de vitesse. |
Vous avez dit bizarre !
|
|
Cet
aménagement en forme de tremplin à la finalité mystérieuse, implanté à 30cm de la
chaussée est dangereux. |
Une
signalisation « accrocheuse » et accrochée !
|
Pour
que tout usager puisse circuler, en parfaite sécurité, « de chaque coté », de
cet îlot central, le bord de la chaussée, devrait être matérialisé au sol par un marquage
de bord de voie et une bande d’éveil de vigilance en amont. La matérialisation en blanc de
l’îlot ne suffit pas. L’obstacle représenté par son potelet de signalisation devrait se
situer au moins à 50 cm de la zone de circulation.
|
Le
bord de ce panneau, situé à 20cm du bord de la chaussée a été heurté. La responsabilité
du maître d’ouvrage de l’aménagement de cette place se trouve engagée. |
Les bornes
passées, il n’y a plus de limites ...

Signé Sisyphe ...
Mésaventures.... |
|

|
Obélix a perdu ses cailloux.
Le Petit Poucet n’en avait plus assez.
Il en a retrouvé.
Il s’est empressé de les semer... |
Nos deux malheureux amis semblent ignorer que
leurs cailloux qui, dans une zone piétonne, pourraient être considérés comme des « aménagements » , constituent, dans cette zone 30, « des obstacles posés sur la voie de circulation » et, de ce fait, une infraction au code de la route qui expose leurs
auteurs à d’éventuels recours devant le tribunal administratif et à des actions en réparation en
cas de dommage.
|
Haut de page
PLU
|
le 27 janvier 2006
7, Rue du Clos
42300 VILLEREST
à Monsieur René BENETIERE
Commissaire enquêteur chargé
de l’enquête d’utilité publique
sur le projet de révision du PLU.
Mairie de VILLEREST
Monsieur le Commissaire,
Un des objectifs d’Ensemble à Villerest, association citoyenne, est de permettre aux
habitants de la commune de participer le plus possible aux décisions qui les concernent.
S’agissant de l’enquête d’utilité publique sur le projet de révision du PLU,
elle formule les observations qui suivent.
1 Le
PLU oriente l'avenir de la commune pour de très nombreuses années, d'où la nécessité
d’une concertation avec la population, dont M. le Préfet de la Loire, par lettre du 2
septembre 2002 rappelait l’importance à M. le Maire :"
Le conseil municipal délibère sur les objectifs poursuivis et sur les modalités d'une
concertation associant pendant toute la durée de l' élaboration du projet, les habitants,
les associations locales et les autres personnes concernées... avant toute élaboration ou révision
du plan d' urbanisme."
La réalité n’a
pas été à la hauteur de ces exigences : en 4 ans deux réunions seulement avec la population et la demande, formulée par
notre association, d’une réunion publique pendant la durée de l’enquête, n’a pas été
acceptée. Il y a donc insuffisance de présentation et de débats avec les Villerestois.
2
L’association s’inquiète de l’insuffisance de programmation et de contrôles
envisagés par le PLU, témoignant ainsi d’un certain laisser faire.
-
C’est le cas pour
l’assainissement. L’assainissement individuel est susceptible d’entraîner des
pollutions de surface dans certains quartiers de notre commune. Le PLU ne propose pas d’équipements
pour résoudre ce problème ni de mettre un frein à ce type de construction. L’avis de
l’Etat souligne d’ailleurs « la non concordance du PLU avec le zonage
d’assainissement des eaux usées ».
-
C’est le cas pour les adductions d’eau. Certains quartiers en plein développement
risquent de manquer d’eau en l’absence d’un programme destiné à réaliser conduites,
station de pompage, réservoir (Le mémoire des annexes sanitaires note les insuffisances en eau potable et la desserte
incendie).
3 Le PLU rend
possible un potentiel de constructions considérable susceptible de faire passer la population
de 4200 à 7500 habitants. Pour autant on n’a pas envisagé les équipements nécessaires à
ce surcroît rapide de population : équipements scolaires, sportifs, culturels, de
loisirs etc., réseaux de desserte (voiries principales sécurisées, adaptation pour les
handicapés).
4 N’aurait-il
pas été souhaitable d’envisager un meilleur équilibre de la population dans sa répartition
spatiale comme le demande la loi SRU ? Au contraire, le PLU maintiendra les disparités
entre le Nord, « Villerest-Ville » et le Sud, Bourg et Saint-Sulpice. En effet,
les 20% de construction sociales programmées, non seulement ne rattraperont pas le fort déficit
actuel mais elles sont surtout situées au Nord et ne
concernent que quelques programmes futurs, alors que les 20% doivent s’appliquer à la
commune entière.
5 La
richesse patrimoniale de Villerest n’est pas suffisamment valorisée. C’est le cas du
bourg médiéval peu mis en valeur ainsi que du plan d’eau.
La priorité est attribuée au développement du Golf de Champlong et de ses abords. On peut
d’ailleurs redouter que des terrains, actuellement classés en zone naturelle, puissent être
transformés pour accueillir des constructions « de standing ».
6 Les
zones naturelles (ZNIEFF, ZICO) ainsi que la bande des 300m jouxtant la retenue, protégée au
titre de la loi sur le littoral, sont-elles totalement garanties ?
Une étude précise aurait dû être réalisée par des services compétents. Or, dans le
dossier du PLU, on ne trouve qu’un rapport succinct de quelques pages, pouvant permettre
plusieurs interprétations.
7 Les zones d'habitat sont développées.
Les zones d'activité économique ignorées malgré une demande substantielle concernant
l'entrée de l'agglomération. La mixité urbaine demandée par la loi SRU concerne aussi bien
l’habitat que les activités économiques.
Recevez, Monsieur le
Commissaire enquêteur l’assurance de notre
considération.
Le Président
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Environnement
En passant par le plan d’eau ce 16.1.07..... |
La mise à l’eau de Villerest
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Plus on en enlève…
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... Plus il en revient ! |
D’où est parti ?
Qui a bien pu lancer ? ce message désespérant ?
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Chaque fois que
son niveau monte… |
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Il fait le plein !
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Rappelons nous, décembre 2003...

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Ensemble à Villerest participe à la
fête "To'Théme" |
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Le totem réalisé par l'association se veut à nouveau un signal
d'alerte sur les problèmes environnementaux du barrage de villerest (Voir le reportage
ci-dessus..) |
Pour la réalisation de ce totem une opération collecte de
quelques "OFNI" représentatifs..(Objets Flottants Non Identifiés...) a été
montée....
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